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Yb Truffes ? C’est Simple S’il vous arrive A le faite bien

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Il apportait aux choses de son métier le même soin méticuleux qu’aux choses de son goût, particulièrement attentif lorsque des intérêts personnels étaient en jeu et toujours désireux d’être impartial et juste : je dis seulement désireux. Ors’ Anton, le héros de Colomba et son amoureuse anglaise, nous intéressent peu. À ce point de vue, la vieille critique n’avait rien à reprocher à Colomba. Notre positivisme habituel, notre amour-propre d’animal rationnel et critique se remet vite et il faut prévoir ce retour offensif en donnant deux issues au récit, l’une vers l’impossible, l’autre vers le monde réel. En revanche, nos pères et nos grands-pères étaient très exigeans en ce qui touche certaines qualités dont nous sommes en train de faire des défauts : ordonnance du récit, proportion des parties, logique des situations, identité des caractères, choix des détails, politesse et fini du style. Dans la Vénus d’Ille, il a sous la main un autre élément de succès dont il avait déjà essayé l’effet dans la Vision de Charles XI (1829) : la peur. Ainsi dut venir au monde la Vénus d’Ille (1837), qui est, avec Matteo Falcone et l’Enlèvement de la redoute, une de ses œuvres les plus parfaites. Fils d’artistes, grandi dans le milieu où se forment les sculpteurs et les peintres, il assistait de près à une révolution du goût et à la naissance d’une esthétique nouvelle ; il prenait sa part des discussions parmi lesquelles elle vint au monde

C’étaient des scènes d’élections, moitié ignobles, moitié gaies, qui devaient prendre place dans les Deux héritages ; c’était une veillée avec des paysans, où il improvisait, pour les épouvanter, un de ses contes les plus noirs ; c’était, enfin, quelque original étudié sur place et chez lui, un de ces types qui ne fleurissent bien et ne se développent en liberté que dans les « trous. C’était l’inspecteur-général des beaux-arts qui avait en quelque sorte raconté la Vénus d’Ille au romancier ; il rapporta d’une tournée en Corse le roman qui le mit au premier rang parmi les favoris du public et lui ouvrit l’Académie française. C’est une question que le public seul peut résoudre. Dans une lettre à Mme de Montijo, il parlait de « la position élevée à laquelle ne pouvait manquer d’arriver M. le duc de la Victoire, » et il accompagnait cette prophétie d’un dessin expressif, représentant Espartero, qui se balançait à une très haute potence. Cette copie, faite pour être soumise aux amis de la comtesse de Montijo, donne l’idée de ce qu’il pouvait faire en s’appliquant. En se voyant pour la seconde fois en proie à cette horrible vision, le magistrat aurait dû comprendre qu’il y avait dans sa vie quelque méchante action dont il lui était demandé compte : sa conscience, s’il eût voulu prendre le soin de l’interroger, n’eût point été en peine de lui apprendre quel était son crime ; la chose une fois bien expliquée, ce qu’il aurait eu de mieux à faire, c’eût été de se mettre en prières jusqu’au matin, puis, le jour venu, d’aller à sa paroisse faire dire une messe pour le repos de l’ame de Pierre Leroux : au moyen de ces expiations et de quelques aumônes faites aux pauvres prisonniers, peut-être eût-il recouvré le repos de sa vie, et se fût-il pour jamais dérobé à l’obsession dont il était l’objet

MANSART (Jules HARDOUIN, dit), 1er architecte et surintendant des bâtiments du roi, né à Paris en 1645, était neveu du préc. Il plut à Louis XIV par ses talents et son esprit et fut chargé par lui des travaux les plus importants : il éleva les châteaux de Marly, du Grand-Trianon, de Clagny, de Lunéville, la maison de St-Cyr, la place Vendôme, celle des Victoires, et mit le sceau à sa réputation par la construction du palais de Versailles et du dôme des Invalides à Paris. Peut-on imaginer un plus beau symbole de l’esprit de sacrifice ? « - que les sanctions mentionnées au premier alinéa ne peuvent être prononcées plus d’un an à compter de la date de constatation des faits. J. Hardouin, premier peintre du cabinet du roi, qui avait épousé une sœur de Fr. S. Louis y remporta sur les Sarrasins, en 1250, une victoire meurtrière, mais il fut pris peu après

Parmi les espèces de truffes et nos champignons séchés recensées, cinq sont essentiellement produites et commercialisées en France. Et c’est merveille de voir avec quelle adresse les bateliers riverains du Tarn conduisent à deux leurs toues massives, souvent chargées de six voyageurs, parmi ces écueils redoutables, ou évitent d’être brisés par un remous contre la paroi d’un tournant. Si ces deux sources ont réellement la même origine, c’est là le plus grand affluent que reçoive le Tarn dans ses gorges. « Restons un instant à la Tiaulas : au premier plan, entourée de verdure, est une jolie nappe d’eau formée par un barrage, puis un large pont du xviie siècle ; au-dessus, sur les pentes des deux rives, la petite ville de Sainte-Énimie. Prades (448 hab. la comm., 247 aggl.), haut perché sur un roc massif, dégringole à la rivière en une ruelle que des rochers encaissent et que les orages changent en torrent. Ce mot de Sidoine Apollinaire : « J’ai vu une ville dans un puits, » sublimem vidi urbem in puteo, s’applique très probablement à Sainte-Énimie. J’ai connu en Espagne, reprit-il, un nommé Bianchi, capitaine au 6e de ligne, - il a été tué au siège de Tarragone, - qui joua ses oreilles pour mille écus