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Approches Pour le succès D'une Exelente Marché Truffes 86 B 2 B

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CURCAS. s. m. C’est le nom d’un fruit de l’Amérique, dont parle Lémery après Garzias du Jardin. Mellivora. Nettement plus carnivore que le blaireau européen, ce dernier (Mellivora capensis), a une nourriture peu spécialisée même si comme son nom l'indique, il apprécie tout particulièrement le miel. Ce fut une date dans l’histoire des transports (1665) que l’invention de la « chaise, » ou mieux du fauteuil à deux roues, porté sur un châssis, auquel les gens délicats et opulens purent atteler, sinon les bidets réservés aux cavaliers, du moins des malliers de plus forte espèce. Pour les gens de qualité, atteler alors six chevaux à leur carrosse de voyage n’était pas un luxe inutile ; il en restait souvent en route : un cheval se noyait à l’abreuvoir ; deux jumens dételées, après une chute, s’échappent et l’on ne sait ce qu’elles sont devenues. » D’après un état de 1584, il existait 241 a maisons de postes, où devaient se trouver toujours 2 chevaux et 2 hommes pour porter le service du Roi. » Ce fut seulement à partir de 1653 que le port des « ordinaires, » facultatif depuis une vingtaine d’années, devint obligatoire pour les maîtres de poste ; obligatoire en théorie du moins, car le nouveau système mit cent ans à se généraliser : de Lyon à Marseille et à Montpellier, on ne commença que sous Louis XV, en 1741, à confier le service des malles de lettres aux maîtres de poste, tenus de fournir les chevaux nécessaires

Du moment qu’il peut être démontré par l’étude comparative des fossiles et par la connaissance que nous avons des conditions dans lesquelles on rencontre les animaux ensevelis dans les glaces du Nord, que le terrain soi-disant diluvien du Nord est non seulement contemporain, mais même identique avec les dépôts à ossemens de l’elephas primigenius du centre de l’Europe, et du moment qu’il ne reste plus de doute que la catastrophe qui les a frappés a été subite et accompagnée d’un changement brusque dans la température, il me paraît évident que les animaux dont les ossemens fossiles sont enfouis dans nos terrains diluviens, ont péri par la même cause, c’est-à-dire par le froid, et qu’ils ont par conséquent aussi pu être ensevelis dans les glaces. Les blocs erratiques, qui diffèrent si fort des moraines, dans leur disposition générale, ne sauraient donc en aucune manière être confondus avec ces dernières ; puisqu’ils s’étaient déposés avant la formation des moraines, c’est-à-dire lorsque les glaces occupaient encore toute la plaine suisse. Déposés avant le soulèvement des Alpes et remaniés depuis, leur aspect actuel est sans doute dû à l’action que les glaciers ont exercée dans les vallées qui les renferment, soit par leur mouvement, soit par l’effet de leur fonte, lors des débâcles

Et d’abord la plus grande dépression de la molasse me paraît un effet de la débâcle des glaciers, qui a dû être surtout considérable lorsque les masses de glace qui remplissaient de grandes dépressions, comme par exemple nos lacs, sont venues à se soulever ; ces glaces ont même pu flotter à de grandes distances et charrier des blocs au loin, comme cela arrive dans le Nord ; car l’ablation presque constante de la couche de fin sable et de gravier de dessous les blocs, au pied du Jura, jusqu’à un niveau d’environ 300 pieds au-dessus du lac, semble indiquer que le courant occasionné par cette débâcle, a généralement pu s’élever aussi haut ; tandis qu’à 5 et 600 pieds au-dessus du lac on retrouve déjà presque partout cette couche. Mais nous avons déjà vu plus haut que cette dernière supposition est truffes noires en tranches et huile de truffe blanche contradiction avec les faits, puisque l’on observe sur leurs deux rives des moraines disposées comme autour d’un glacier qui subit des oscillations. ’un mouvement dans un sens déterminé, dans une masse pareille est impossible, parce que la glace se dilate dans tous les sens, n’a plus aucune force du moment qu’il est démontré que la pente de cette nappe pourrait presque égaler celle des glaciers ordinaires, qui cheminent cependant dans le sens de leur pente, malgré la dilatation qu’éprouve le glacier dans tous les sens

Cette décadence ne marcha d'abord que lentement : malgré les fréquentes révolutions de palais (surtout de 1618 à 1622), malgré quelques pertes en Hongrie (1595-1608), la Turquie obtint encore d'importants avantages : la guerre de Choczim lui donna quelques districts en Pologne; Ibrahim commença ta guerre de Candie, qui finit par la conquête de cette île sous Mahomet IV (1669); mais à partir de cet instant, Fraîche Tuber Brumale la décadence marche rapidement : les trois régences (Alger, Tunis, Tripoli) et même l’Égypte deviennent presque libres de fait; la grande guerre de 1682 à 1699, que termine la paix de Carlowitz, arrache presque toute la Hongrie aux Turcs; le traité de Passarovitz leur enlève Temesvar et partie de la Servie, que toutefois ils recouvrent par la paix de Belgrade (1740). Les Russes, avec lesquels ils sont en lutte depuis 1672, commencent à obtenir la supériorité. De 1809 à 1812, nouvelle guerre et perte des provinces entre le Dniéper et le Danube, assurées à la Russie par la paix de Bucharest; en 1819, perte des îles Ioniennes (qui deviennent libres sous protectorat anglais); de l820 à 1830, perte de la Grèce, définitivement affranchie par la victoire de Navarin (1827); perte de partie de l'Arménie turque, cédée à la Russie en 1829; à la suite d'une nouvelle guerre avec la Russie, la Valachie, la Moldavie, la Servie deviennent, parle traité d'Andrinople (1829), libres sauf tribut, et sont placées sous la garantie russe; en 1830, perte de l'Algérie, conquise par la France; en 1833, le pacha d’Égypte lève ouvertement l'étendard de la révolte, conquiert la Syrie, bat les Turcs à Konieh, et menace Constantinople